L’interrogation à laquelle tente de répondre la présente étude est de savoir si l’investissement de l’UE dans la CEEAC en tant qu’acteur de sécurité collective en Afrique centrale se justifie. Le constat, il faut le regretter, n’est pas encourageant. Intervenant sur un milieu il est vrai peu porteur, l’UE ne s’est pas donné les moyens des fins affichées.